Entre les mains d’un proxénète

Catégories : FANTASME Femmes soumises sexuelles
il y a 10 ans

Je m’appelle Sabine, j’ai bientôt 25 ans, cheveux châtain, je fais du 95 B, 54 kilos pour un mètre soixante et un visage qui ne laisse pas les garçons de marbre. Le sexe est une passion pour moi, j’aime baiser, les filles me traitent de salope mais je m’en tape, il me faut des hommes pour satisfaire mes envies. Quand je dis des hommes je suis sérieuse, une fois, il m’est arrivé de m’en faire trois dans la même journée.

La pluralité me plait aussi mais c’est moins bien pour moi, ce n’est pas que je n’aime pas sucer, bien au contraire, mais dans en gang bang c’est quand même souvent ça qui prime trop pour moi, les bites je les préfère dans mon chaton.

Les vieux, enfin je me comprends, les mecs de moins de cinquante ans me plaisent aussi, ils sont moins rapides et plus osés dans l’acte, dans leurs mots, dans leurs façons de faire. L’un d’eux m’a fait découvrir l’amour en étant attachée, ce jour là mon plaisir était si puissant que je demande maintenant à certains de mes amants de m’attacher. Quand je suis entravée bras et jambes écartées sur un lit, je m’imagine qu’on m’a enlevée et qu’on m'oblige à faire la pute.

Ne me dites pas que je suis folle, je le sais déjà mais j’aime qu’on me baise comme ça et jouir ainsi est plus fort que moi.

La première fois que Jean m’a attachée, je me suis envolée, il voulait faire de moi sa soumise sexuelle, j’ai vraiment aimé l’idée, c’est même moi qui lui ai dit « sa pute » mais le mot ne lui plaisait pas trop. Pour me faire plaisir, il a commencé à me parler comme ça, un dimanche, il m’a entravée nue sur le lit et bandé les yeux. Une heure plus tard il est venu me baiser en me traitant de pute, c’était torride parce que c’était la première fois qu’il me bandait les yeux. Une heure plus tard il est revenu et a recommencé puis une troisième fois encore, il avait du prendre la pilule bleue. J’ai vraiment adoré, il m’appelait « sa petite pute » je me sentais pute f o r c é e, j’aurai beaucoup aimé qu’il y ait d’autres « clients » tant j’étais partie dans les alléluias. Jean a renouvelé la chose mais après m’avoir fait faire la chienne ou m’avoir obligée à venir à quatre pattes pour le sucer en remuant du cul.

Au plus il m'obligeait, au plus il m’attachait, au plus il me profanait au plus j’étais heureuse, le bonheur total malgré notre grosse différence d’âge. Et puis il a eu son accident cardiaque, la pilule bleue a eu raison de l’homme que je commençais à aimer, mon premier Amour s’est envolé. J’ai mis du temps à m’en remettre mentalement, mais physiquement je n’ai tenue qu’une semaine. Et là, je suis tombée sur Rachid.

Rachid, un jeune beur distingué quand il le veut, beau et charmeur il m’a « tombée » en cinq minutes. Conduite en BMW à la cité, il m’a assurée et dit que je ne risquais rien avec lui quand les mecs m’ont matée dans la cage d’escaliers, et il avait raison, aucun n’a bougé ou ne m’a sifflée, je sais maintenant pourquoi….

Bien monté mais sans excès, ce jeune beur sait se servir de ce que la nature lui a donné, j’ai autant aimé la manger que la prendre, il m’a fait la totale, « les trois trous » comme il se plait à le dire. Rachid a été très surpris que je lui bouffe la queue juste après qu’il ait joui, j’en voulais encore et encore surtout après une semaine d’abstinence.

Au bout d’un moment j’ai fait remonter la bête avant de monter dessus comme il me l’a demandé pour le chevaucher. Cette position ne m’amuse pas, je préfère être dessous sans possibilité de fuite et là, je lui ai dit la phrase qu’il ne fallait pas : « baise-moi comme une pute, v i o l e-moi j’aime ça ».

Son attitude a changé, il m’a donné ce que j’aime en me tenant les poignets et plus encore en mettant sa main autour de mon cou comme pour m’étranger. Sa main autour de mon cou me fit connaître encore plus la sensation de rapport obligé, bien plus que les poignets tenus. J’ai trempé son lit en gueulant comme une givrée paraît-il, au point qu’il a du me bâillonner pour que les voisins ne s’affolent pas.

Le lendemain il me faisait découvrir les caves, j’avais peur mais le côté sinistre m’excitait en même temps. Rachid a emménagé trois caves côte à côte pour avoir de l’espace. A l’intérieur il y a la lumière, un lit, un mini bar et un frigo pour les bières. Quand il m’a dit « A poil petite pute et à quatre pattes sur le lit » je n’ai pas été gênée ni par le mot, ni par l’ordre, il faisait comme Jean qui me manque tant. Au moment le plus fort j’ai crié comme d’habitude, « possède-moi, baise ta pute » et d’autres délires qui me passent par la tête dans ces moments-là.

Après m’avoir fait l’amour comme un dieu et baisée au moins une heure non stop, il a pris le temps de me faire parler en me caressant les cheveux puis en me faisant des petits bisous dans le cou. Je lui ai donc avoué mes fantasmes d’enlèvement puis d’être attachée et baisée par les ravisseurs. En me roulant des pelles d’enfer que j’ai prises pour des patins d’amour, il m’a proposé de me faire vivre mon fantasme une après-midi entière, alors pour le remercier je lui ai taillé une pipe gloutonne.

Mes délires allant assez loin, je lui ai demandé s’il pourrait filmer mon enlèvement pour avoir un souvenir comme sur les vidéos de Fessestivites où l’on voit des femmes attachées et prises ou fouettées, en lui expliquant que ce type de film m’excite. Il n’a pas dit non, mais ne m’a pas semblé très motivé.

La chose n’a pas tardé, deux jours plus tard il m’attendait avec sa BMW à l’arrêt de bus comme prévu, j’étais à la fois excitée et un peu inquiète même si je suis montée dans sa voiture avec plaisir. Il m’a demandé de lui confirmer que je voulais toujours vivre mon fantasme d’enlèvement et de v i o l, j’ai répondu d’un mouvement de tête, ma bouche n’arrivait pas à s’ouvrir. Rachid a envoyé un texto puis a démarré la voiture. Lorsque nous sommes arrivés à la cité, il est allé se garer dans le parking souterrain avant de s’arrêter près d’un groupe de beurs. Là j’avais vraiment très très peur. Rachid m’a dit « je suis là, tu ne risques rien ».

LIRE LA SUITE mais attention c'est plus hard.....

Ecrivaillon

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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